Nous sommes tous là, à attendre un second numéro. Il y a des lecteurs, des rédacteurs, des penseurs, des agitateurs, des perturbateurs et même, des carburateurs.
Dis-moi ton spectre, je te dirai qui tu es.
Qui est notre spectre ?
Quel spectres sommes-nous ?
Cette identité, quelle est-t-elle ? Qui sommes nous Spectres ? Que voulons nous écrire ? Dire ?
Il est, à ce jour, important de savoir ce que les Spectres sont et ce qu'ils disent. Ils doivent ouvrir la voie de l'interdisciplinarité de la critique. A une époque où la subjectivité, le blog, les forums permettent l'expression d'un prisme critique multiple et foisonnant ; il nous faut réfléchir à un nouveau paradigme de la critique de cinéma.
Ne pas la limiter à un pâle exercice de style, ou à une reconversion de la critique littéraire.
Il nous faut relire Deleuze. Il nous faut mieux comprendre ce que, lui, a tenté de faire.
Mais non pas pour le refaire, pour le défaire, ou tout sobrement, pour le faire ; mais bien plutôt pour le tenter, pour lier, agencer. Penser. La philosophie, l'histoire, la sociologie, la physique, la politique, la pensée, l'anthropologie, tous, tous, doivent prendre part, s'organiser avec le cinéma. Les Spectres doivent être l'espace de leurs agencements. La voix de ces cheminements.
Il ne faut pas avoir peur de dire "amour de la démocratie", il ne faut pas avoir peur de créer de nouveaux espaces de dialogue, de dire "non au virtuel, oui au réel".
Ce réel, nous en parlons dans les Spectres, nous l'approchons. Mais le vivons-nous ? Que cherchons nous dans ces salles obscures ? Que voulons nous approcher de cette pellicule ? De ces images ? de ces sons ?
Dire : "l'interdisciplinarité de la critique de cinéma est là"; la vouloir, voilà notre idéal. Mêler, sans peur, sans peur du reproche, les sciences sociales au cinéma c'est déjà en soi un acte politique. Affirmer haut et fort le caractère émancipateur du cinéma, son énergie, sa plus grande force, cela doit être notre travail.
Mais amusons-nous, vivons, partageons ! Que l'erreur soit notre flambeau, que le parcours soit notre étendard ! N'oublions jamais que pour réellement donner naissance à un espace démocratique la parole doit être ouverte, débattre, c'est cela, et c'est en puisant vers l'interdisciplinarité d'une critique à la parole libérée que nous pourrons y parvenir.
Vive le forum des Spectres du Cinéma !
Dis-moi ton spectre, je te dirai qui tu es.
Qui est notre spectre ?
Quel spectres sommes-nous ?
Cette identité, quelle est-t-elle ? Qui sommes nous Spectres ? Que voulons nous écrire ? Dire ?
Il est, à ce jour, important de savoir ce que les Spectres sont et ce qu'ils disent. Ils doivent ouvrir la voie de l'interdisciplinarité de la critique. A une époque où la subjectivité, le blog, les forums permettent l'expression d'un prisme critique multiple et foisonnant ; il nous faut réfléchir à un nouveau paradigme de la critique de cinéma.
Ne pas la limiter à un pâle exercice de style, ou à une reconversion de la critique littéraire.
Il nous faut relire Deleuze. Il nous faut mieux comprendre ce que, lui, a tenté de faire.
Mais non pas pour le refaire, pour le défaire, ou tout sobrement, pour le faire ; mais bien plutôt pour le tenter, pour lier, agencer. Penser. La philosophie, l'histoire, la sociologie, la physique, la politique, la pensée, l'anthropologie, tous, tous, doivent prendre part, s'organiser avec le cinéma. Les Spectres doivent être l'espace de leurs agencements. La voix de ces cheminements.
Il ne faut pas avoir peur de dire "amour de la démocratie", il ne faut pas avoir peur de créer de nouveaux espaces de dialogue, de dire "non au virtuel, oui au réel".
Ce réel, nous en parlons dans les Spectres, nous l'approchons. Mais le vivons-nous ? Que cherchons nous dans ces salles obscures ? Que voulons nous approcher de cette pellicule ? De ces images ? de ces sons ?
Dire : "l'interdisciplinarité de la critique de cinéma est là"; la vouloir, voilà notre idéal. Mêler, sans peur, sans peur du reproche, les sciences sociales au cinéma c'est déjà en soi un acte politique. Affirmer haut et fort le caractère émancipateur du cinéma, son énergie, sa plus grande force, cela doit être notre travail.
Mais amusons-nous, vivons, partageons ! Que l'erreur soit notre flambeau, que le parcours soit notre étendard ! N'oublions jamais que pour réellement donner naissance à un espace démocratique la parole doit être ouverte, débattre, c'est cela, et c'est en puisant vers l'interdisciplinarité d'une critique à la parole libérée que nous pourrons y parvenir.
Vive le forum des Spectres du Cinéma !
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